Ô éternel
instant du Soleil distant
Qui féconde
l'horizon et fuit chez Hadès !
Je vois s'échapper du fin fond du néant
Dans un tourbillon, les étranges promesses
Quand scintille solitaire, l'éclat du point du jour
Hormis sur les promeneurs égarés, mon amour
Par-delà les toits, les allées engourdies
Nous courrons ramasser l'Ipomée endormie
À midi, traînassant, dans les gais pâturages
Nos corps lambinés sous les saules pleureurs
Vois ! Le ciel n'est pas mort, un ange est de passage !
Mais déjà tu m'échappes, tu rejoins l'Enchanteur
Ô éternel instant du Soleil distant
Qui fuit l'horizon et féconde Hadès !
Je vois s'échapper du fin fond du néant
Dans un tourbillon, les étranges promesses
Je vois s'échapper du fin fond du néant
Dans un tourbillon, les étranges promesses
Quand scintille solitaire, l'éclat du point du jour
Hormis sur les promeneurs égarés, mon amour
Par-delà les toits, les allées engourdies
Nous courrons ramasser l'Ipomée endormie
À midi, traînassant, dans les gais pâturages
Nos corps lambinés sous les saules pleureurs
Vois ! Le ciel n'est pas mort, un ange est de passage !
Mais déjà tu m'échappes, tu rejoins l'Enchanteur
Ô éternel instant du Soleil distant
Qui fuit l'horizon et féconde Hadès !
Je vois s'échapper du fin fond du néant
Dans un tourbillon, les étranges promesses
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