10.1.13

Égérie


Le long d'un sentier africain aux longs doigts coulants,
une cithare se joue des sanglots de l'aurore.

Ô les exquises harmonies ! Le long des dunes roses, et le long des sillons de mes sombres entrailles, où les cieux se sont refermés.

Une ballerine s'avance, le cœur amaurose et le corps cyanosé; égérie de mon désir jasmin.

3 commentaires:

renaud a dit…

Je viens de passer un agréable moment à lire
votre poésie.
Elle contient beaucoup de belles images et est
remplie d'humanisme.
Je me sens en osmose.
Amitié
Renaud

Victor Dali a dit…

Merci beaucoup Renaud,
Amitié également.

colette a dit…

Merci de votre passage/ partage sur mon espace et sur ce merveilleux homme que restera toujours Terzieff

Merci également de vos belles images cueillies ça et là dans vos vers, je repasserai vous lire plus longuement

Enregistrer un commentaire